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 ( MacBook + RME Fireface 800, à l'arrière-plan le Kanéda DC1
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 ( PC tour embarquant une carte Lynx Two
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le 845
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Quelques test comparatifs ont été menés le dimanche après midi :
Nous avons encore une fois conforté nos certitudes sur les sources analogiques et nos questionnements sur les sources numériques. Il pourrait en être de même sur la (in)cohérence des étages d'amplification (valve/solid state).
Ce qu'il faut retenir : nous avons partagé un moment très agréable et convivial à nous écouter les uns et les autres et aussi à écouter de la musique sur un système qui ne peut que faire la fierté de Mélaudia.
Merci à tous
Après reprise des points de repère validés lors des mesures des sessions 2007, nous avons assisté a une très bonne session sur deux jours, avec beaucoup de musique écoutée, avec des sources variées Thorens TD125 ou Goldmund pour l'analogique et différentes configurations informatiques pour le numérique.
J'avais emmené un préampli Neumann pour le faire écouter, hélas ,une fois branché sur la sortie RIAA du Kanéda, pas de son.
Problème, de niveau (maximum +15 dB) ou d'impédance (standard professionnel à 600 ohms en entrée) ?
Ce préampli me sert tous les jours sur mon système - en ligne et en sortie de mon pré avec correction RIAA passif LDA.
À bientôt pour d'autres bonnes journées.
Non seulement comme toujours les participants ont fait de cette journée un moment de partage très appréciable, mais je crois que c'est la première fois ou nous avons réussi à écouter de la musique sans se poser trop de questions métaphisiques. Peut-être est-ce du à la majorité des écoutes qui ont été analogiques ?
Cela m'a convaincu (si c'était encore nécessaire) de ne pas investir - pour l'instant car nul ne sait ce que l'avenir nous apportera - dans une solution PC pur écouter Mozart et encore moins dans une solution de filtrage sur PC.
Bref retour sur le cinquième anniversaire de MELAUDIA, célébré comme il se doit à Rueil-Malmaison.
Ultime rencontre dans le pavillon du parc Jacques Lagauche, les futures installations devant avoir lieu dans une maison - une vraie, nous promet-on, avec de vrais murs - en bord de Seine.
Un hommage à été rendu à Gilbert Preyale, MELAUDIA a bénéficié de ses conseils, certaines de ses œuvres y sont conservées, ainsi qu'un legs sous forme de documents. Une délégation MELAUDIA ira dire un dernier salut à l'ami parti.
J'étais venu avec l'idée de me livrer à une tchatche entre audiophiles, de découvrir des amateurs éclairés et passionnés, de belles musiques, et accessoirement jeter une oreille sur le système, tout cela pendant une paire d'heures.
7 heures aprés mon arrivée, j'étais toujours sur place, sans conscience du temps écoulé.
Il faut dire que l'équipe s'est donné tous les moyens de réussir, le système a atteint une dynamique saisissante et un équilibre proche du parfait, surtout avec la lecture vinyle dans ses diverses déclinaisons.
La lecture CD m'a laissé quelque peu sur ma faim cependant.
Mission accomplie, un grand merci à l'équipe, toujours aux petits soins pour ses invités.
Ne manquez pas de nous faire signe pour les prochaines occasions !
note : la prochaine rénion aura lieu sur un autre site, mais c'est ponctuel, les suivantes devraient continuer à l'endroit habituel
La différence ne m'a pas sauté aux yeux entre les variantes de lecture numérique :
Quelques uns des vinyles que j'ai eu le plaisir de passer :
Georges Arvanitas - 3 am (PRETORIA réédition SKETCH)
"Celia"
Jesse Garon - Et l'âge d'or (POLYDOR)
"Lucky Dom Dom"
Chick Corea - Trio Music (ECM)
"Trio Improvisation #4"
Lonnie Brooks - Bayou lightning (ALLIGATOR)
"Figure Head"
Un disque par contre qui à mon grand regret je trouve décevant audiophilement parlant, en vinyle comme en CD, et pourtant que la musique de cet excellent pianiste est belle (et ce titre en particulier) ...
Kenny Barron - What if (ENJA)
"Phantoms"
Le samedi soir avec François et Raoul on a bouclé l'entrée/sortie monitoring du préampli sur la Lynx en lecture vinyle. On a pu écouter les les galettes en direct et après numérisation.
Le résultat était surprennant de fidélité.
La conclusion : il faudrait imposer une correction RIAA aux ingénieurs du son.
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